Au début des années 1950, après le décès de Mme d’Auby, le couple n’ayant pas eu
d’enfant, les petits neveux furent les seuls héritiers. Ils morcelèrent les biens et les
vendirent. L’acquisition de la villa Primavera fut faite par le « Mouvement des Enseignants
Chrétiens » qui y proposa des « sessions familiales », sortes de vacances à bas prix
réservées aux enseignants des écoles catholiques où toutes les tâches étaient réalisées en
famille (ménage, cuisine,…). Malheureusement, la modicité des prix ne permit pas une
rentrée d’argent suffisante pour solder l’achat de la villa et après l’été 1958 elle fut remise en
vente.